Imaginez un monde dans lequel des entreprises comme ExxonMobil, BP et Aramco devraient payer pour la pollution qu’elles ont causée à la planète.
L’État de New York est sur le point d'adopter un projet de loi allant dans ce sens, mais la gouverneure de l'État fait traîner la procédure. Si elle fait adopter la loi, elle créera un précédent qui pourra inspirer le reste du monde.
C'est une opportunité unique de faire payer les pollueurs !
Imaginez un monde dans lequel de grandes entreprises pétrolières devraient payer en raison de la pollution qu’elles ont causée à la planète.
Un monde dans lequel les entreprises telles qu’ExxonMobil, BP et Aramco paieraient leur juste part, plutôt que de faire peser le coût financier de la crise climatique sur les contribuables.
Cette idée ne relève pas de l’utopie. C'est précisément ce que prévoit une nouvelle loi à New York, mais la gouverneure de l’État tarde à la signer, et les activistes craignent qu’elle ne cède à la pression de l’industrie.
Si des États comme celui de New York adoptent ce projet de loi, ils créeront un précédent que d'autres États et gouvernements du monde entier pourront suivre.
Dites à la gouverneure de New York de faire payer les pollueurs.
Voici ce que prévoit la loi : collecter près de 3 milliards de dollars (2,7 milliards d’euros) par an afin de réparer les routes et les ponts, moderniser les écoles et renforcer la résilience des communautés. Les fonds seraient directement prélevés aux entreprises et industries responsables du réchauffement climatique, notamment les grandes compagnies pétrolières qui ont sciemment menti au public pendant des décennies sur les dangers des combustibles fossiles, alors qu’elles engrangeaient des profits considérables.
Les fonds climatiques sont de plus en plus populaires : la Californie envisage d’y recourir et le Vermont les a mis en place. Bien que d’autres structures gouvernementales aient mis en place des fonds pour lutter contre le changement climatique, ils sont principalement financés par les contribuables et non par les entreprises directement responsables des dégâts climatiques.
La gouverneure de New York pourrait promulguer cette loi sur le fonds climatique spécial, et déclencher ainsi un effet domino à l'échelle mondiale. Mais alors qu’elle subit la pression des lobbyistes de l'industrie, elle doit ressentir une immense pression mondiale si on veut espérer la faire agir dans le bon sens.
Dites à Mme Hochul, la gouverneure de l'État de New York, de faire payer les pollueurs.
Merci pour tout ce que vous faites,
Rewan, Anisha, Vanessa et l'équipe d'Ekō.
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