Tu t'éloignes chaque jour
Un peu plus
La mémoire se déconstruit proche de tes mots
S'instruit du silence ambiant
Les traits s'émoussent
Où se déciment les pulsations chaotiques
Chaque jour un détour
Carrefours confus de perte
Se démembrent
Les pas déraisonnent partis ailleurs
Dans ce même itinéraire s'emprisonnement
Demeure le balcon fermé
Sans fleurs le balcon demeure...
Ouhibi Khaled SAIDI.
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