Tant pis pour Brahms, Malher ou Beethoven et leurs inlassables zèles, leurs rigoureuses disciplines.
Cette odyssée, je te la soumets dans un court texte postmoderne, dans une langue poreuse, dans une prose en palier.
Pour un hypothétique rendez-vous, au mépris des moussons et des tremblements de terre.
Je dépose une à une les pièces d'un puzzle qui dessinera ton profil et le rêve des hommes trop prudents, venus des brumes et des berges sablonneuses.
On n'a guère besoin d'abri à l'approche de la lune. Juste d'un store qui se gonfle au gré d'une brise d'été. De fleurs rouge et violette sur la soie noire d'une robe.
Lorsque le jour s'éclipse, heure indécise où l'œil humain perd ses repères.
Et de quelques éclats de phrases jetés par-dessus l'épaule, que l'on consignera dans un livre d'or.
Juste quelques éclats de phrases...
Dominique TEILLIER
le 14/09/2021.
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