Il y a mes désirs de vive lumière
Face à la pénombre du doute.
Il y a mes folles folies :
Des coquilles perdues dans le sable.
Il y a cette fleur
La seule que j’aime sans nul doute.
Il y a cette île féérique qui m’habite densément.
Il y a cette envie d’aller de l’avant sans penser aux risques
Ni aux embûches de l’existence.
Il y a aussi ce chemin de rêves,
Ce chemin que mes pas n’emprunteront jamais
Et puis vient le néant où tout va pour le mieux […]
GREGPHILE.
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