La chair a
ses émotions,
ses
transports qui font décoller
éclairs
bruts ou pièges subtils,
éphémères
intensités
ou
bien-êtres insistants,
c’est à sa
façon
qu’elle
pense :
en l’effraction
du
ressenti.
Ses chants
de joie
s’impriment
en vous
comme des
appels
à la vie.
Les ignorer
ne mène à rien :
ils révèlent
vos profondeurs,
vos
densités
fortes et
mutiques.
Patricia
Laranco
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