L’homme triste chemine
Aux méandres de sa pensée
Il meurt à petit feux de cette non croyance
Il s’est jugé tout seul
Puisant dans l’ignorance
D’une mémoire ancestrale
Sans accepter l’amour
Qui devrait le sauver
Aux méandres de sa pensée
Il meurt à petit feux de cette non croyance
Il s’est jugé tout seul
Puisant dans l’ignorance
D’une mémoire ancestrale
Sans accepter l’amour
Qui devrait le sauver
Toi qui passe par là
Caresse son visage
Il le découvrira peut-être
Avant la fin des jours
Caresse son visage
Il le découvrira peut-être
Avant la fin des jours
Sylvaine DIET.
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