Tous les oiseaux qui portent
Sur leurs ailes déployées les couleurs de l'infini
Sur leurs ailes déployées les couleurs de l'infini
Voyagent à travers ces jardins de lumière
Que tu as dessinés autrefois dès la naissance
Que tu as dessinés autrefois dès la naissance
Du monde sur la paume de tes mains
Et dans le miroitement de l'air sur ta peau
Et dans le miroitement de l'air sur ta peau
Tu les observes et bien qu'ils ne soient
Plus immobiles il te semble que ces oiseaux
Plus immobiles il te semble que ces oiseaux
Demeurent à tes côtés comme des statues
De sable sculptées par le sel et le vent
De sable sculptées par le sel et le vent
François
TEYSSANDIER.
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