Ce soir, j’ai une folle envie de
rock and roll. Plan foireux d’une journée loin de vous. Solitude de la nuit
avant que ne tombe la neige rédemptrice.
"Je suis ce rêveur sans
rêve
À la merci d'une lampe de poche".
À la merci d'une lampe de poche".
J’écoute la voix brumeuse de
Bashung, « La nuit je mens », pour la énième fois. Affalé sur ce canapé made in
chinois, ma vie grésille comme un 45 tours vinyle un peu rayé. J’adore la
musique populaire, ces tubes qui n’en finissent pas de te tirer les larmes.
Cette furtive impression
D’emplir le vide énorme de la nuit.
D’emplir le vide énorme de la nuit.
Richard TAILLEFER.
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