En tant que pays colonialiste, Israël s’est activement efforcé d’effacer l’existence des peuples autochtones sur les terres qu’il occupe, de manière à mieux s’approprier ces aspects de leur culture qui le font paraître «local» plutôt qu’implanté.
La cuisine étant historiquement une production culturelle locale, Israël ne s’enorgueillit pas de bagels, de saumon fumé ou de carpe farcie – tous d’origine européenne – mais plutôt de fallafels, de houmous, d’huile d’olive et de la salade de tomates et de concombres simple mais délicieuse qui accompagne la plupart des repas palestiniens.
Lire la suite de cet article en date du 3 octobre dernier de l'écrivaine Nada Elia sur le site de l'Agence.
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