AU QUOTIDIEN DE MON ÎLE.
ébahies ses portes ont les yeux
en larmes inassouvies
ses fenêtres demeurent
bras croisés et tremblantes
en larmes inassouvies
ses fenêtres demeurent
bras croisés et tremblantes
dru sur son macadam en deuil
tambourinent quelques pas
quand tout implore le silence
le soleil jauge ses rues sans vie
tambourinent quelques pas
quand tout implore le silence
le soleil jauge ses rues sans vie
Bobby PAUL
2020.
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