Actuellement, le Sénat met en garde contre les prochaines périodes de sécheresse à venir !
Outre les dégâts irréversibles infligés à la faune et la flore, le coût de la sécheresse de 2022 est estimé entre 2,4 et 2,9 milliards d’euros.
Et les scientifiques annoncent que ces épisodes de sécheresse devraient survenir de plus en plus. Une année sur trois entre 2020 et 2025 et une année sur deux entre 2050 et 2080.
On le voit d’ailleurs, car cette année, la sécheresse a commencé beaucoup plus tôt, en plein hiver ! Aujourd’hui, cela fait 31 jours qu’il n’y a pas eu de grosses pluies.
Alors dépenser des milliards pour essayer de réparer les dégâts,
c’est bien, mais comme le dit le Sénat, exploiter des mesures
préventives serait plus utile et coûterait bien moins cher !
Aujourd’hui, on apprend que le régime CatNat (catastrophe naturelle) ne sera probablement plus en capacité de couvrir les sinistres en 2040.
Il est plus intelligent de prévenir que d’essayer de réparer des dommages irréversibles.
Des mesures préventives existent
pourtant, certaines permettent de limiter la teneur en eau du sol en
limitant l’évaporation de l’eau, etc.
Mais selon la sénatrice Christine Lavarde : « Beaucoup d’entre elles n’ont pas encore entièrement prouvé leur efficacité, faute d’avoir été déployées à une échelle suffisamment large, et d’avoir fait l’objet d’un véritable suivi sur une période longue ».
Il faut absolument que le gouvernement arrête d’attendre les catastrophes et mette en place des mesures pour les éviter!
Ensemble, demandons à l’État de faire valoir ces mesures préventives et de lutter contre la sécheresse au lieu de réparer ses dégâts.
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