J’ai dû changer mon cœur d’épaule
La rime n’est plus sanguinaire
La prose n’est plus généreuse.
J’ai le sourire dans le barillet
J’ai le cœur sans éruption
Il n’y a plus de murs où s’accrocher
Mais je dois rester fou pour garder l’équilibre.
Christian PRÉSENT.
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