COROLLE.
à Flaviano Pisanelli.
J’imagine la main nue
la main de la lumière
chant d’azur décolleté
où l’œil se retrempe.
J’imagine l’or fin des doigts
sur la frise d’une chevelure
en laquelle l’ombre s’irise
avec le murmure des fontaines.
J’imagine l’opale des ongles
et le trait couleur de rosée
tracé sur la peau des mots
fruits d’on ne sait quelle fleur.
André CHENET.
07/02/2010.
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