jeudi 1 août 2024

Un poème, de facture surréaliste, du béninois Cébastien ARISSOUN...

 











...



Et si tu aimes encore
laisse la vague couler
nue de souffle nue de bain
laisse le vent brûler tes lèvres
chauves
des cotons de brûlure
sur des coupons de dents
au fin pinceau du feu blanc


...



pour continuer l'histoire



...



laisse le vent gémir
vif d'odeur fou charmeur
sous ton toit dans ta voix
sur ton corps prieur
dans ta chair vagabonde
laisse le feu rire seulement
sur le dos du silence
c'est le pain du jour
c'est la vie de demain



...



Je m'aime
VOIX
Comme
Je
M'aime



...



Je
Me
Souviens


...



Voici
La
Synthèse


...



Voilà
La
Raison


...



Comme vous
Je peux voir
Le rêve
Dans le miroir
Ravir les étalons
De mon imagination.

























































Cébastien ARISSOUN.

31 juillet 2024.
























































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