Désinformation, harcèlement, impact sur la santé mentale de nos enfants, les méfaits de Facebook sont légion....
Facebook ne peut plus feindre l'ignorance. Alors, pour apaiser les critiques, l'entreprise a créé son propre Conseil de surveillance, en charge de repérer les dérives de la plateforme et d'apporter des solutions.
Mais nous savons maintenant que Facebook a muselé son Conseil de surveillance, le censure et l'empêche de faire son travail.
Ce “Conseil” a été mis en place pour protéger les utilisateurs de Facebook comme vous et moi. Il est temps d'exiger qu'il cesse de servir de caution aux dirigeants de Facebook qui refusent de nettoyer leur plateforme.
Dites au Conseil de surveillance de démissionner si Facebook ne publie pas le résultat de leurs travaux !
SIGNER LA PÉTITION
Le Wall Street Journal et la lanceuse d'alerte Frances Haugen viennent de révéler l’existence d’un rapport secret rédigé par le Conseil de surveillance de Facebook au sujet des dommages causés par la plateforme. Mais les dirigeants de Facebook ont purement et simplement choisi d'ignorer ce rapport parce que ses conclusions étaient mauvaises pour son chiffre d’affaires.
La ligne rouge a été franchie, mais au lieu d’agir en conséquence, le "Conseil de surveillance" de Facebook s’est contenté de noter que les dirigeants de Facebook manquaient d’honnêteté envers eux. Comment, ce Conseil de surveillance peut-il superviser Facebook s’il accepte qu’on lui mente constamment ?
Les membres du Conseil doivent cesser de couvrir les dirigeants de Facebook et démissionner si ces derniers refusent de rendre publique la totalité des recherches internes sur les dommages causés par la plateforme. Si vous vous mobilisez massivement, nous pourrons obtenir des réponses et agir en conséquence.
Dites au Conseil de surveillance de démissionner si Facebook ne publie pas leur rapport !
SIGNER LA PÉTITION
Les membres du Conseil de surveillance de Facebook sont des "experts indépendants et des leaders de la société civile" du monde entier. Alors que le Conseil est censé s'attaquer aux plus gros problèmes de Facebook, il ne prend en compte qu'un infime pourcentage des cas soumis (20 sur 500 000) - et ces cas ne sont traités qu'après que Facebook ait statué à leur sujet.
Cela signifie que les décisions de Facebook d'ignorer des contenus dangereux - comme ceux qui touchent les enfants, la complicité dans le trafic d'êtres humains et les discours anti-vaccins - ne sont même pas pris en compte.
Les membres du Conseil de surveillance, payés par Facebook, revendiquent leur indépendance et leur engagement en faveur de la transparence, mais leur travail ressemble à tout sauf à ça.
Il est temps qu'ils cessent de défendre Facebook et remplissent leur mission : nous protéger.
Envoyez un message au Conseil de surveillance de Facebook !
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