J'ai caressé ton écriture.
J'ai lu la première page à bout de souffle.
Je l'ai relue et mon corps tout entier glisse dans cette
page.
Je suis l'absente.
Il n'y a pas d'étrangeté dans l'amour.
Il n'y a que des raisons qui viennent combler la
solitude.
Tu l'arroses.
Tu pries la pluie.
Tu pries le ciel.
Tu es fatigué.
C'est peut-être aussi cela l'amour.
Se surprendre à épier les ombres.
Zohra MRIMI.
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