hors des
cendres
de son corps
les ivresses
de
l’extinction
-
Il ne demeure
rien -
sauf le visage
de la lumière
qui se consume
-
ce voile qui ne
recèle
nulle lumière
est ce qui
sépare
l’être de son
visage
-
en vous
contemplant
l’être se
contemple
par
l’entremise de votre désir
-
la mort est le
temps
parvenu au
dénuement absolu
Umar TIMOL
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