Fleuve bleu rougi de nos
entrailles
De nos jours peu de soldats meurent
les corps sont de civils
dont les grands yeux vitreux
brillent de regards ardents
sur la mousse des rives
où sont les vers luisants
qui volettent dans une danse macabre
pour célébrer la rudesse de l’oppression
avec l’euphorie d’une ivresse des sens.
De nos jours peu de soldats meurent
les corps sont de civils
dont les grands yeux vitreux
brillent de regards ardents
sur la mousse des rives
où sont les vers luisants
qui volettent dans une danse macabre
pour célébrer la rudesse de l’oppression
avec l’euphorie d’une ivresse des sens.
CEEJAY.
©
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