vendredi 16 octobre 2020

L'AGENCE MEDIA-PALESTINE.

 

 

 

 



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" La nouvelle génération de Palestiniens doit explorer de nouveaux horizons pour la lutte

"À mes yeux, aucune transformation effective n’est attendue du parti démocrate. Sous leur administration, les crimes de guerre d’Israël ont reçu un soutien total. Chaque processus politique mené par leur administration était basé sur les principes coloniaux de partition, niant aux réfugiés un droit substantiel au retour et prenant le paradigme raciste de l’« État juif » pour une évidence.

 

Cependant, de nouveaux discours et mouvements émergent aux États-Unis; Black Lives Matter, qui a adopté le BDS, est l’un d’entre eux. Ces mouvements sont capables d’inspirer et de coordonner un changement radical. Les Palestiniens aux États-Unis font partie de ce changement, et ils placent notre cause au cœur des luttes américaines, en la faisant revivre comme un argument central pour comprendre les politiques impériales… La lutte palestinienne pour la liberté s’épanouira sur le sol de ces mouvements, et non sur le terrain de jeu de la colline du Capitole."

 

 

 

 

 

 

A lire, cet entretien avec l'écrivain Majd Kayyal réalisé en partenariat entre l'Agence Média Palestine et ATTAC,  publié ce jeudi 15 octobre sur le site d'ATTAC France :

 

« La nouvelle génération de Palestiniens doit explorer de nouveaux horizons pour la lutte »

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

L’apartheid israélien perfectionné et durable .

"Inévitablement, la crédibilité de quiconque soutient que l’apartheid israélien rivalise avec celui de l’Afrique du Sud en termes d’intention discriminatoire et de brutalité sera remise en question. Pour ma défense, permettez-moi de dire que j’ai vécu l’apartheid dans les deux sociétés. En Afrique du Sud, j’ai dirigé le Centre d’études juridiques appliquées de l’Université du Witwatersrand, qui s’est engagé dans des activités de plaidoyer et de litige contre les lois de l’apartheid. J’ai été témoin direct du racisme et je suis intervenu en tant qu’avocat dans de nombreux procès d’opposants à l’apartheid. Plus tard, j’ai participé à la rédaction de la Déclaration des droits, qui a abouti à la Constitution de 1996.

 

Au cours des 40 dernières années, j’ai suivi les événements en Palestine, en tant que rapporteur spécial des Nations unies sur les droits de l’homme dans les territoires palestiniens occupés pendant sept ans et en présidant deux enquêtes internationales sur la violation des droits humains dans ce pays. J’ai beaucoup voyagé en Palestine dans le cadre de missions des Nations Unies."

 

 

 

 

 

 

Lire la suite de cet article de John Dugard en date du 8 octobre dernier sur le site de l'Agence.

 

 

 

 

 

 

Et cet article d'analyse Bashir Abu-Manneh, contributeur au média alternatif de gauche américain "Jacobin " :

 

Deux décennies après la deuxième Intifada, la Palestine n’a toujours pas de partenaire pour la paix

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

9 novembre – 4ème journée mondiale d’InterAction pour un monde sans murs

"L’appel pour un monde sans murs est plus urgent que jamais : avec la pandémie mondiale de la COVID-19, les murs qui oppriment et excluent sont devenus plus hauts, plus brutaux et plus visibles.

 

Les contributions à l’exposition en ligne « Un monde sans murs » montrent les communautés de migrants confrontées à l’enfermement et à des frontières toujours plus militarisées, tandis que les prisons, la répression et l’exclusion sous toutes les formes sont devenues encore plus inhumaines et fatales."

 

 

 

 

 

 

Lire la suite de cet appel sur le site de la Campagne BDS France

 

 

 

 

 

 

A lire aussi sur le site de l'Agence :

C’est une première : des syndicats britanniques s’engagent à mettre en cause l’ apartheid israélien

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

« It Must Be Heaven » : Elia Suleiman, voyageur du monde et spectateur sans voix.

"Sept ans s’étaient écoulés entre Intervention divine (2002), et Le Temps qu’il reste (2009). Une durée qui avait fait son œuvre sur Elia Suleiman. En le faisant mûrir, elle l’avait amené à conduire son film vers plus de simplicité. Après cela, dix années ont encore passé avant qu’il réalise un nouveau long-métrage, It Must Be Heaven, dont la douce mélancolie semble, elle aussi, porter la marque du temps qui a continué à filer."

 

 

 

 

 

 

Lire la suite de cet article de la journaliste Véronique Cauhapé en date d'hier sur le site du Monde.fr :

 

« It Must Be Heaven » : Elia Suleiman, voyageur du monde et spectateur sans voix

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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