Si à l'amertume sourit ton pauvre cœur
Et que la mauvaise fortune le ride
Remunis-toi de ce qui le sauve du vide
Unifie ton courage qui l'ouvre à toute heure
Et que la chair des mots ne te soit à douleur
Quand la guerre contre les maux nettoie ton âme
Malgré les airs de drame noyés en malheurs
Ne meurt terre : femme à les broyer de son charme
Et si nul ne peut enfermer l'Humanité
Qu'il n'y a de terme à sa beauté qui résiste
Ajoutes-y les sarments d'un feu qui persiste
Où ne bute trame en enfants de liberté.
Alain MINOD,
le 29-10-2020.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire