LA
MORTE ENFANCE
Du haut
des collines dévissées
Sur la pointe bavarde de mes pieds
Je te cherche des yeux
Sur la pointe bavarde de mes pieds
Je te cherche des yeux
Oh ma tendre enfance
Je t’ai cherchée partout
Jusqu’au plus profond des cieux
Est-ce
donc toi ce nuage égaré
Qui cherche en vain un vent d’aiguillage
Et tourne en rond
Dans le piège des tourbillons
Qui cherche en vain un vent d’aiguillage
Et tourne en rond
Dans le piège des tourbillons
Alassane
NDIAYE
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire