France (GREENPEACE) : E. MACRON, dealer de schiste ou champion du climat ?

 

 

 

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Bonjour, Tôt ce matin, des activistes de Greenpeace venu·es de partout en Europe, étaient en mer pour faire obstacle à un projet toxique faisant cap sur la France : un « bateau-usine », opéré par TotalEnergies.   Ce bateau-usine, c’est ce qu’on appelle un terminal méthanier flottant. Son objectif ? Importer du gaz, et en grande partie du gaz de schiste américain, avec la bénédiction du gouvernement. Malgré ses promesses et ses récents discours sur la sortie des énergies fossiles, Emmanuel Macron continue au contraire à nous en rendre fortement dépendant·es.   C’est pour cela que nos activistes sont passé·es à l’action : pour dénoncer sa politique énergétique absurde qui va à contre-sens de l’urgence climatique, et dont ce nouveau terminal méthanier est un symbole funeste.   Découvrez notre enquête pour en savoir plus Même si les lobbies des énergies fossiles aimeraient nous le faire croire, le gaz n’est pas une énergie de transition. C’est une énergie toxique qui aggrave la crise climatique, tout comme le pétrole et le charbon.   Pire encore, le gaz importé grâce au terminal méthanier du Havre sera en grande partie du gaz de schiste américain, dont la technique d’extraction est interdite en France depuis plus de dix ans pour des raisons sanitaires et environnementales. Quelle hypocrisie !   En juin dernier, nous avons publié une investigation en collaboration avec le média Disclose pour prouver que ce projet n’est pas essentiel à la sécurité énergétique de la France, ni à celle de nos voisins européens, comme le prétend le gouvernement. Vous trouverez toutes les informations dans notre article :   Pour tout savoir, lisez l'article sur notre site Les événements climatiques extrêmes de cet été ont souligné la nécessité et l’urgence de sortir des énergies fossiles. Nos demandes pour le gouvernement sont claires : ce terminal méthanier ne doit pas être mis en service, et aucun des nouveaux projets d’énergies fossiles qui seraient à l’étude ne doit voir le jour.    N’hésitez pas à partager cet article avec vos proches. Plus nous serons nombreuses et nombreux à connaître ce projet choquant et à le dénoncer, plus nous pourrons faire pression sur les responsables politiques, et ainsi, faire changer les choses.    Merci d’avoir pris le temps de me lire, Camille, pour l’équipe Énergies fossiles de Greenpeace France. PS : Si vous voulez voir plus d’images de notre action en mer, vous pouvez faire un tour sur notre compte Instagram et notre compte Twitter.

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