Des écoliers, des familles… les bombes de la junte militaire birmane n’épargnent personne.
L'horrible vérité est que des milliards d’euros d’investissements français alimentent cette dictature sanglante.
Dites aux banques françaises : pas un euro pour les criminels de guerre !
SIGNER LA PÉTITION
Des écoliers bombardés, des milliers de civils tués... La junte
militaire birmane mène une guerre sanglante contre son peuple -- alimentée par des milliards d'euros d'investissements français.
La junte le fait grâce à ses revenus du pétrole et du gaz. Et devinez qui finance cette industrie ? Les plus grandes banques et fonds d'investissement français.
Ensemble, nous pouvons couper les vivres à la junte, mais nous avons
besoin de votre aide : pour le moment ces sociétés refusent d’assumer
leurs responsabilités et opèrent dans l’impunité la plus totale. Il est
temps d’exposer leur complicitė pour qu’elles cessent de financer cette dictature sanglante :
Dites aux acteurs financiers français comme BNP Paribas et Crédit
Agricole de cesser de soutenir les entreprises fossiles qui alimentent
la junte militaire birmane.
Ces acteurs financiers se cachent derrière le fait que leur argent
est investi dans des “fonds” et qu'ils ne le donnent pas directement à
la junte birmane, mais le résultat est le même : un
gouvernement illégitime et violent reçoit des milliards pour payer ses
soldats, acheter des armes et du carburant d'aviation pour mener des
frappes aériennes meurtrières. Nous devons dénoncer cette odieuse complicité.
Bien qu'isolé politiquement, ce cartel meurtrier continue de
commettre des crimes contre l'humanité en toute impunité grâce aux
revenus tirés de son industrie pétro-gazière -- nous avons besoin de votre aide pour mettre fin à son financement, au plus vite.
L'année dernière, plus de 100 000 membres d'Ekō ont exercé une pression internationale sur Total jusqu’à ce que ce
géant des énergies fossiles abandonne complètement ses projets gaziers en Birmanie. Si nous pouvons faire plier un tel géant, nous pouvons le faire à nouveau avec ces financiers français !
Dites à ces acteurs financiers : Pas un euro d'investissement français
ne doit soutenir des crimes de guerre et des meurtres !
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