"Mais
notre protection légitime de l’art Palestinien – en plus du sentiment à
la mode « l’existence est une résistance » – signifie que toute notre
production culturelle dans le monde anglophone risque d’être traitée de
la même manière. Le radical est mis dans le même sac que le libéral ; le
sans-gêne est mis dans le même sac que le désespérément persuasif. Le
critère de qualité de l’art Palestinien devient simplement son identité.
Mais sans critique – une critique sérieuse, pas une critique qui
cherche des mines dans tous les champs – il ne peut y avoir de
croissance. En d’autres termes, sans critique ni défi, la relation
dialectique entre l’artiste et la « rue » ne peut être maintenue ou
remise en question, et le rôle de l’artiste devient uniquement
cérémoniel."
Lire la suite de cette analyse de l'écrivain et poète palestinien Mohamed El-Kurd en date du 5 septembre dernier sur le site de l'Agence.
A lire également sur le site de l'Agence, cette interview en date du 17 septembre dernier :
Entretien avec la cheffe d’orchestre palestinienne Lamar Elias
Et cet article, à lire ou à relire qui a été actualisé sur le site de l'Agence en date du 18 septembre dernier :
Soixante-quinze ans de chansons pour la Palestine
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