Il y a les jours où ce sont les mains
qui caressent comme le vent.
Habillé de mon corps
Je vais suivant le cap
de la chair le handicap.
Retenu dans mes élans aériens
par cette pesanteur d'eau et de sang.
Avec ce faisceau de regard
qui ne s'ouvre que d'une pommette à l'autre.
je vais croyant un univers.
Ne sachant pas les étoiles
côté obscur de la tête.
Ignorant la face cachée du monde qui me suit
les mains tentant de saisir le vent.
qui caressent comme le vent.
Habillé de mon corps
Je vais suivant le cap
de la chair le handicap.
Retenu dans mes élans aériens
par cette pesanteur d'eau et de sang.
Avec ce faisceau de regard
qui ne s'ouvre que d'une pommette à l'autre.
je vais croyant un univers.
Ne sachant pas les étoiles
côté obscur de la tête.
Ignorant la face cachée du monde qui me suit
les mains tentant de saisir le vent.
CEEJAY.
©
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