Je me voulais flamme
Pour te créer un corps féminin
Terre d’ici Mer d’ailleurs
Encre à tatouer l’herbe de nos vies
Terre en feu Mer en bleu
A la ronde des nuances
Je te créais peintre
Tu sais
Je te créais souffle
Le sais-tu ?
Le vent souffle où s’illumine l’esprit
C’est la tendresse des origines
C’est la mémoire du temps
C’est la caresse du vent
Qui fait vibrer l’âme du ciel
Ecoute le silence de la lune en bleu
PREMIER SEPTEMBRE
Cébastien ARISSOUN.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire