"Comme le met en avant Edward Saïd dans La Question de la Palestine (1992), après la perte de la Palestine, elle a continué à exister comme idée, comme expérience politique et humaine, et son existence s’est appuyée sur des actes émanant d’une volonté populaire durable. Par des représentations culturelles, cette volonté a été soutenue et mise en contexte et, avec elles, les Palestiniens ont transformé leurs camps de réfugiés et leur existence diasporique en une Palestine parallèle. Les objets culturels comprennent, sans se limiter à la musique et à la danse folklorique (Dabkeh), des anecdotes, de la poésie orale, de la broderie, de la cuisine et, à des étapes ultérieures, de la littérature et des arts visuels. Les Palestiniens ont même préservé leurs modes d’interaction sociale et les structures d’avant la Nakba. Les vieux stéréotypes internes au village et au clan, la concurrence, la rancune, de même que des coutumes spécifiques aux villages semblent avoir survécu à l’épreuve du temps." Lire la suite de cet article sur le site de l'Agence. A lire aussi sur le site de l'Agence cet article en date d'hier : Film Lab Palestine annonce la neuvième édition du « Palestine Days International Film Festival » |
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