Encore quelques coursives.
Des cœurs à crever avec la liberté.
Une pensée altruiste pour la sueur qui coule.
La grisaille n’est qu’une âme en sursis qui pose ses conditions
Sur l’échafaud de la joie.
Le droit sur la cicatrice n’est qu’un piètre chanteur.
Poète à l’air libre
Où la veine n’est qu’ivresse.
La fenêtre sur le vide
N’est qu’un piédestal pour mon cœur sur le billot.
Encore ces sourires cannibales
Encore ces mots casaniers.
Eponge du monde qui bouge
J’ai encore un billet à miser sur mes doutes.
Christian PRÉSENT.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire