SEUL.
Seul avec mes plaies béantes,
Ma voix de feuilles humides ;
Loin des tohu-bohus,
Le cœur mi-lourd, mi-léger.
Sous le regard pâle du soleil,
Moi, le plus petit de tous,
L’inconnu qui brise le verre de l’inéquation existentielle.
Là,
Dans ce champ d’espérances
J’attends le feu vert de l’envers du miroir.
Ou la chute de mon étoile mûre…
Cette étoile que les saisons n’ont pas su entretenir
Comme convenu […]
GREGPHILE.
All rights reserved.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire