A prendre ton parfum pour repère
je me suis égaré
dans la ville spiralaire de ton corps
ou chaque rue a l’infini pour limite
archives d’errances
tes pores s’ouvraient par milliers
comme des fleurs ivres
au seuil du printemps
ma main aveugle
le ciel accroupi au bout du tunnel
je suis un pèlerin pyromane
qui vit de bouts d’horizon inconnus
et de gémissements volcaniques.
Elbeau CARLYNX.
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