Je m’escrime à parfaire le silence. Je m’escrime à fuir le despotisme du
ressenti et de l’amour. Mais, demeure dans l’imaginaire brumeux, jamais à
l’abri de mes vers, jamais à l’abri de mes mots, jamais à l’abri du poème et de
ces traits de plume qui parachèvent ma défaite, demeure le halo de celle qui
dans mes songes dormait nue, celle que, selon la rumeur, je n’ai jamais cessé
d’aimer.
Gillian GENEVIÈVE.
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