Je suis du givre qui tombe sur des yeux morts.
Que nos regards sont obliques !
Ce que je vis, était-ce un son ?
Était-ce lumière ?
Était-ce un souffle de vent attisant le buisson ardent ?
Ce que je vis, était-ce seulement le reflet de mes propres yeux ?
Était-ce la cécité ?
Je n'ai plus d'yeux pour voir.
Que des mains pour palper et un corps pour m'évanouir.
Que nos regards sont obliques !
Ce que je vis, était-ce un son ?
Était-ce lumière ?
Était-ce un souffle de vent attisant le buisson ardent ?
Ce que je vis, était-ce seulement le reflet de mes propres yeux ?
Était-ce la cécité ?
Je n'ai plus d'yeux pour voir.
Que des mains pour palper et un corps pour m'évanouir.
Hicham
OUADGHIRI.
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