Ils ont encadré l’avenir mais mon
domaine est grand. Le vent bourdonne dans ma tête, me poursuit aussi fort que
mes rêves. Toujours quatre murs. Le monde est sans limite. J’attends calmement,
une parole de chair, un printemps d’exubérance, Une page blanche.
Demain est encore loin
« Dans la
plaine
Passent des trains
Vides de tout voyage »
Passent des trains
Vides de tout voyage »
Richard TAILLEFER.
In On ne s’égare pas dans le sommeil des autres
(manuscrit inédit), 2018.
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