La mer que tu croyais
Si lointaine dans ton regard
Se repose au fond de ton jardin
Tu t’allonges sur ses vagues
Qui viennent lécher tes pieds nus
Si calmes et lentes et froides
Qu’il t’arrive de trembler comme
Si tu entendais une voix familière
Amoureuse de ton corps et de ta bouche
Célébrer les noces de l’écume et du vent.
Texte et photographie : François TEYSSANDIER.
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