Parce que…
La Providence
ignore
les inextricables
tonalités.
Parce que les dissonances
se dédoublent
des tâtonnements
Le ravissement
évoque
le flambeau
des yeux.
Parce que les écrins
saluent
le gouffre
des mouvances
La vie
essuie
les flâneries
du destin.
Parce que les gerbes
enchantent
la pudeur
des offusqués
Les ruches
sanglotent
du primitif
aiguillon.
Parce que l’Amour
dénonce
le recueillement
de la Lumière
Parce que…
Lydie CONDAPANAÏKEN.
08 MAI 2023.
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