dans les entrailles de la mer obscure
sur la vêture des agonisants
sous la treille en fond de chagrin
les pleurs t’entourent
ta poésique hurle à l’orée de l’angoisse
de rire jaune et les images cloaqueuses
mouillent les yeux jaunes du ciel
la fièvre des chiens errants gagne le monde
faisant larmes le bleu et dans cette absence
farlangue la joie
mais tu chantes sourd
à la risée du parterre
tu chantes
et les trilles irisées de ton chant trouvent
parmi les égouts troubles
de l’enténébrure trouvent
en échos d’irisure retrouvent
sous la treille rare
d’amour le rire du monde.
Jean-Louis ROBERT.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire