Douter de tout
et de moi-même,
piétiner les roseaux
du chemin de halage,
se vouloir le vassal
des algues suzeraines
et regretter le temps
des sublimes arrogances.
DEDICACE.
A ceux qui sont partis
vers ce raide horizon
où le voyage s’accomplit
j’offre ces quelques mots
dans la fatigue qui succède
aux bacchanales de la vie.
Textes (in Pays d’absence) et illustrations photographiques : José LE MOIGNE.
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