Un lien littéraire dans une ville presque vide, où les mots s’échangent à la va-vite, dans un brouhaha de salamalecs et d’accolades équivoques. Un étalage orphelin de livres, venus de contrées diverses, vendus sur un trottoir pour une pitance incertaine, préserve les derniers soubresauts de ce lien déjà ancien, à la veille d’une promesse littéraire qui n’aura pas lieu.
L’environnement a soif de poésie, de romanesque, de rêve et d’horizons fleuris.
Le printemps nous le rappelle à chaque lever du jour.
Texte et illustration photographique : Abd WAH.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire