Les invisibles.
(10).
Assis sur un banc du village
Pour écrire quelques mots débraillés
Il m’arrive parfois d’éprouver une sensation diffuse.
Un nuage solitaire par-dessus mon épaule
Cette lumière comme une onde de silence
A l’ombre du vieux platane centenaire.
Alors, je bats des mains
Isolé en plein cœur de ce monde qui m’entoure
En faisant risette au soleil.
Richard TAILLEFER.
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