mardi 18 avril 2023

Canada : Agissez maintenant pour fermer la mine de sables bitumineux toxique de KEARL.

 


 





Une filiale d'ExxonMobil savait que l'une de ses mines de sables bitumineux laissait s'échapper des effluents toxiques, mais, pendant près d'un an, elle a laissé dans l'ignorance les communautés autochtones vivant en aval du site.

Agissez maintenant pour fermer la mine de sables bitumineux toxique de cette entreprise dangereuse et dénuée de morale !

 SIGNER LA PÉTITION 


Depuis près d'un an, des fuites contenant des niveaux dangereux d'arsenic et d'autres métaux lourds s'échappent de quatre bassins de résidus du projet de sables bitumineux de Kearl. Elles contaminent les eaux souterraines et les cours d'eau qui alimentent les communautés autochtones et la faune dans le nord de l'Alberta, au Canada.

Pendant près d'un an, Imperial Oil, filiale d'ExxonMobil, et le Régulateur de l'énergie de l'Alberta (REA) étaient conscients de ces infiltrations toxiques et n'ont pas informé les communautés autochtones de la gravité du problème.

Et donc, pendant près d’un an, les communautés autochtones ont consommé sans le savoir du gibier, du poisson et des plantes provenant de terres et d'eaux contaminées par des substances toxiques.

Une chose est claire : tant que l'exploitation des sables bitumineux de Kearl se poursuivra, et continuera de déverser de l'eau chargée d'arsenic dans ces bassins sujets aux fuites, la population et les animaux vivant dans la région ne seront pas en sécurité.

Signez la pétition pour demander aux autorités de mettre un terme à l'exploitation dangereuse de sables bitumineux de Kearl dès maintenant !  

Si les communautés autochtones de Fort Chipewyan ont fini par être informées des fuites des bassins de résidus, c’est seulement parce que l'un des bassins a débordé le mois dernier et a déversé l'équivalent de deux piscines olympiques d'eaux usées industrielles sur des terres qui appartiennent à la collectivité.

La capacité à contenir les eaux usées de ces bassins de résidus, construits sur un terrain poreux, a toujours été incertaine. Et maintenant que le scénario catastrophe s'est produit, Imperial Oil n'est même pas en mesure d'identifier précisément la source du problème. La solution actuellement mise en place par l’entreprise consiste donc à recueillir l'eau contaminée par l'arsenic lorsqu'elle s'échappe des bassins, puis à la remettre dans ces mêmes bassins en attendant de trouver une meilleure solution.

Et pendant ce temps, puisque la mine de sables bitumineux continue de fonctionner comme si de rien n'était, les eaux usées toxiques continuent d'être déversées dans des bassins de résidus de plus en plus instables.

Quelles que soient les déclarations d’Imperial Oil sur ce qu’elle veut faire pour contenir les eaux usées minières et empêcher que cela ne se reproduise, il ne fait aucun doute que la structure des bassins de résidus n'est ni fiable, ni solide, et qu'elle ne le sera jamais. C'est pourquoi le seul moyen d'empêcher la mine de continuer à contaminer l'eau de la région et de faire en sorte que cela ne se reproduise plus jamais est d'obtenir sa fermeture définitive.

Agissez dès maintenant pour aider les communautés autochtones de Fort Chipewyan à protéger leur approvisionnement en eau des effluents toxiques d'Imperial Oil.

Imperial Oil est la deuxième société pétrolière intégrée du Canada et elle appartient à ExxonMobil, l'une des plus grandes compagnies pétrolières et gazières cotées en bourse au niveau mondial. Elle est incroyablement puissante, et c'est probablement la raison pour laquelle elle a pu bénéficier de l’impunité du REA, malgré la gestion dangereuse et contraire à l'éthique dont elle a fait preuve sur le projet Kearl.

Mais si un nombre suffisant de membres d'Ekō, comme vous, rejoignent le mouvement, nous pouvons créer une pression publique suffisante au Canada et dans le monde entier pour obliger les autorités à fermer la mine.

 SIGNER LA PÉTITION 

Merci pour tout ce que vous faites,

 


Lacey, Ibrahim et l'équipe d'Ekō.

 

 

 

 


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Plus d'informations : 

 

 

 

 

 
 

 

 


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