Je pourrai bien vous dire que je réfléchis,
Que je passe ma vie à lire, à écrire aussi
Mais que rien de tout cela ne me suffit.
J’écoute les voitures qui passent.
Elles ressemblent au bruit des vagues,
Elles ne s’arrêtent pas.
On a mouillé mes traces et ce grand cœur sur le sable.
Les bonnes nouvelles roulent sur des pistes cyclables,
Elles sont prudentes.
J’aurai quelques nouvelles à vous dire bientôt
Et toutes ces amitiés disparues, je les aime encore un
peu.
Zohra MRIMI.
17/04/2023.
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